EDF se lance à son tour dans le juteux marché associatif de l’éducation aux médias. Sa branche régionale a choisi de financer le projet “le labo 148” développé au sein de l’association La condition publique à Roubaix. Son objectif: monter une exposition réservée aux fake news, entendez fausses informations.
La fondation EDF Hauts de France fait donc, elle aussi, entrer l’éducation aux médias entre dans escarcelle d’aide apportée au milieu associatif.
Dans sa communication, on y voit Mathias Povse, directeur régional EDF mais aussi président de la fondation du Nord, tête de réseau associatif. Désormais intégré dans les réseaux entreprenariaux du Nord, il continue d’étendre son influence dans la région.
L’éducation aux médias, un business au service de la bien pensance
Depuis une dizaine d’années, des structures associatives se sont spécialisées dans ce domaine. Mais bien avant, en 1983, s’est créé le CLEMI (Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information) est chargé de l’éducation aux médias dans l’ensemble du système éducatif.
Leur cible principale: les enfants et adolescents. Ateliers, supports éducatifs à destination des enseignants, intervention dans les classes, animations diverses, tout est fait pour sensibiliser les plus jeunes. Encore des heures à passer à ne pas apprendre l’instruction de base. Surtout, encore un moyen d’emplir les cerveaux de bien pensance. Quels médias écouter et lire? La place donnée aux minorités racisées et genrées, le wokisme a désormais une place dans leur propagande.
Rappelons que le terne “fake news” a été officiellement reconnu en 2017 faisant écho à la victoire de Donald Trump et la validité de son élection.
Aujourd’hui il y a pléthore d’associations et d’organismes pour faire la promotion des bons médias. Et on peut le comprendre. Ce sont des millions qui sont déboursés par vos impôts pour rémunérer leur personnel et leurs actions.
Le labo 148, exemple de diffusion de propagande pro immigrationiste et wokiste
Les acteurs et les activités du labo 148 démontrent largement les intentions de cet organisme.
Voici la présentation de l’équipe comme trouvée sur leur site internet. Le profil de ces 3 personnages donnent l’ambiance.

On y retrouve les termes associés généralement aux banlieues mais aussi au wokisme.
Quant à ses contributions, sa page facebook donne également le ton.

Chaque année, cette agence de production journalistique développe un thème qui est un fil conducteur. Cette année, une série de 6 petits films coproduit notamment par le Labo 148, la condition publique mais aussi France 3 Hauts de France s’interroge sur l’influence des racines africaines quand on habite à Roubaix. 6 portraits de jeunes habitants roubaisiens.
Des thèmes bien choisis, des idées développées qui ne concernent qu’une partie de la population, bien loin de l’intention populaire.
Une expo nationale déclinée version Hauts de France
Le Labo 148 aura la tâche d’adapter version régionale une exposition déjà existante. Basée sur le travail de nombreux artistes, elle est adressée aux plus jeunes. Comment les artistes nous donnent un autre regard sur le travail journalistique? Comment expliquer le pouvoir de plus en plus important des images?
Le labo 148 aura donc la tâche de régionaliser cette exposition. Assurément, elle continuera de travailler sous le même format et de privilégier les publics issus de l’immigration et les questions de genre.
A voir si la subvention d’EDF influencera le Labo 148 sur les questions environnementales et les énergies développées par le grand groupe d’électricié.
La fondation EDF finance déjà l’exposition qui s’est déjà tenue à Paris.