Issu d’une illustre famille de la noblesse, Robert des Rotours a une sainte horreur de la guerre au point de douter des bienfaits du patriotisme. Le canonnier profite de son temps libre sur le front de la Première Guerre mondiale pour apprendre la langue et l’histoire de Chine.
A la fin du conflit, il embarque au Havre pour Pékin le 4 août 1920. L’enfant d’Avelin deviendra un éminent sinologue.
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