La question se pose particulièrement depuis quelques mois. Arras, souvent perçue comme une ville “préservée”, selon le terme devenu habituel pour qualifier le niveau de violence d’un territoire, connaît un un niveau de violence significatif. Malheureusement, il semble que le processus soit embrayé et la ville gangrénée. L’immigration fait ses premiers ravages et les premières victimes sont souvent les plus vulnérables.
Des femmes et des enfants victimes
Il y a quelques jours, dans un bar de la petite place (ou place des héros), une jeune femme a subi une agression sexuelle par un homme en situation irrégulière. Comme on peut facilement l’imaginer et selon la description faîte par la Voix du Nord, l’homme s’est montré empressant et face à l’opposition de la dame, il est allé plus loin. Attouchements de la poitrine, il tente aussi de l’embrasser de force. Pas suffisamment important aux yeux de la justice qui ne la condamne qu’à un rappel à la loi. Il est placé en retenue judiciaire. Sera t’il expulsé? Rien n’est moins certain. Ce fait divers rappelle nombre de témoignages de jeunes femmes qui ne peuvent plus se balader seule ou sortir dans les bars sans ennui.
Plus grave, en août dernier, un algérien ne parlant pas français est repéré en train de roder autour de petites filles dans le quartier des Bonnettes (ouest d’Arras). Il leur propose quelques euros pour monter chez lui. Heureusement, sa tentative échoue. Quelques jours plus, il exhibe son sexe toujours devant des enfants. Lors de son arrestation, la police découvrira sur lui 2 couteaux. Bilan: 18 mois de prison et 3 ans de suivi psychosociologique.
Ces situations sont graves et mettent en danger des personnes vulnérables du fait de décisions gouvernementales laxistes vis à vis de l’immigration. Pire, les chances de voir ces 2 délinquants expulsés sont minces. Même si une décision d’expulsion était prise à leur encontre, la France se distingue par un taux d’exécution des décisions d’expulsion particulièrement bas : 6,4%. En 2020, seules 6 930 décisions de ce type ont été exécutées sur les 108 000 prononcées.
Que fait Marlène Schiappa?
Marlène Schiappa était en visite dans la capitale artésienne en décembre dernier. Pourtant adepte de l’égalité hommes/ femmes, elle n’était pas venue pour assurer des mesures de sécurité aux femmes. Elle venait prendre des nouvelles de migrants et leur promettre que les procédures allaient être régularisées. Reçue par l’association AUDACE qui a en charge le CADA (centre d’accueil pour demandeurs d’asile) , ce centre est aussi financé par la ville et la communauté urbaine. Pourtant, ces structures sont directement financées par l’Etat. Frédéric Leturque soutient donc la politique d’immigration responsable de maux graves dans sa propre ville.
Quand la prison est un palace
Arras Palace, voilà le nom donné à la prison atrébate. Des vidéos affligeantes détectées sur le réseau social Tik Tok. Les détenus parviennent à obtenir de la nourriture, des téléphones et même de la drogue quotidiennement. Les jets de projectiles au dessus des murs de la prison contiennent des quantités très importantes amenant à un réel traffic.

Selon les informations de la Voix Du Nord, ces dysfonctionnements remontent à une petite dizaine d’années. Tout le monde se tait. La police et les surveillants ne cherchent plus à agir face à une justice défaillante.
Des faits plus graves se déroulent également dans ces lieux occupés majoritairement par des jeunes d’origine immigrée. La population européenne y est harcelée et humiliée. Preuve à l’appui avec une autre vidéo issue de Tik Tok montrant l’appellation écrite “socisson(sic) pur cochon”.
Le groupe militant de l’Action Française à Arras a mené, fin février, une action pour dénoncer ces faits.
Frédéric Leturque , désormais soutien affirmé d’Emmanuel Macron, part dans la même direction politique que le chef d’Etat. La ville d’Arras va donc subir le même traitement laxiste infligé à la France.
Le miroir du Nord, 2022. Dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
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